Le bureau d’Equistratis propose comme candidat à la Présidence de la SECF, Jean Pierre Barjon qui est un entrepreneur au parcours exemplaire en matière de redressement et de développement d’entreprises, mais aussi un propriétaire et un éleveur renommé au palmarès prestigieux.
Jean-Pierre Barjon dispose des compétences et de l’indépendance nécessaire pour mettre en œuvre avec les candidats soutenus par Equistratis au Comité national et dans les Comités régionaux, les orientations du Plan de Transformation que nous avons proposé :
- Faire revenir les Turfistes et relancer l’attrait pour les Courses hippiques.
- Réformer la gouvernance en privilégiant une représentation démocratique, la mise en place d’un pôle de pilotage commun Trot-Galop avec l’apport de compétences extérieures.
- Faire des économies pour alléger les coûts d’exploitation et préserver le retour Filière.
- Céder ou filialiser les activités « Paris Sportifs -Poker » et défendre les intérêts du secteur hippique face à la FDJ privatisée.
La candidature de Jean-Pierre Barjon à la Présidence de la SECF, traduit la volonté de renouveau nécessaire pour redresser une situation compromise par plusieurs années d’erreurs de gestion et de choix stratégiques hasardeux.
L’enjeu est de sauver les Courses, de consolider l’Elevage, de relancer le Propriétariat et de redynamiser le modèle français, unique au monde mais dont l’affaiblissement peut conduire les pouvoirs publics à le privatiser, à l’instar de la FDJ. Une telle évolution se ferait au détriment des Socio-Professionnels, des Turfistes et plus largement de tous les hippodromes et bénévoles de la Filière.
D’où l’importance de redonner à l’élection des Sociétés Mères et de la SECF en particulier, la légitimité démocratique qui lui a été ôtée par la pratique abusive de la cooptation qui autorise des mandats sans limite de durée.
Le président actuel, Dominique de Bellaigue, est coopté. Cinq administrateurs sur douze au Conseil d’administration de la SECF le sont aussi. Il en est de même à France Galop ! Le résultat : une captation du pouvoir de décision et une gestion non démocratique conduisant à une absence de sanction des responsables !
C’est ainsi que les Sociétés Mères sont dirigées depuis 10 ans par des équipes qui ne rendent aucun compte aux Socio Professionnels, vidant de tout sens les élections au Comité et donc les nominations aux Conseil d’administration.
Cette pratique doit cesser. Equistratis présentera des candidats dans les cinq collèges au niveau national et dans les régions. Jean Pierre Barjon sera lui-même candidat en Ile de France dans le collège Propriétaire.
Face à Equistratis, il y aura, nous le savons, d’autres candidats à la Présidence, dont certains fraichement cooptés et soutenus par l’équipe en place. Le temps des petits arrangements est révolu.
Il est temps de reprendre en main une Institution qui a été mal dirigée, faute notamment d’indépendance, de compétences et d’une légitimité sans laquelle aucune réforme n’est possible.
